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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 19:50
Sarkizy est bien plus petit que Obama qui a de la classe et de l'allure.
La démarche de pingouin de Sarkizy est drôle, et je pense qu'elle est due à ses talonnettes.
Pas de désaccord entre eux, devant les caméras, mais l'américain a fait le service minimum,, et Obama va rester à Paris, demain matin pour une visite à Beaubourg (chef d'oeuvre réalisé sous Pompidou mais qui a mal vieilli) avant de repartir dans son immense pays (il n'a pas besoin du soleil de la Côte d'Azur, lui).

J'ai bien été obligé de regarder, mon amie voulait voir le défilé, comme aurait dit Boris Vian, alors j'ai fait une petite sieste pendant la cérémonie, tant pis pour eux.

Même le Figaro dit la même chose mais en termes choisis, c'est tout dire
Le président français ne verra pas son homologue américain à Paris. Leur rencontre ne durera qu'un peu plus de quatre heures lors des cérémonies du 65e anniversaire du Débarquement.
  • PEUT-ON séjourner dans la capitale d'un pays allié sans aller dire bonjour à son voisin ? Barack Obama, qui est arrivé vendredi soir à Paris et loge au 41 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, dans la résidence de l'ambassadeur américain, c'est-à-dire à quelques centaines de mètres de l'Élysée, n'a pas prévu de rencontrer son homologue français. Tout se passera en Normandie. À son arrivée à l'aéroport d'Orly, le président américain n'a pas souhaité d'accueil protocolaire. Du coup, c'est le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, qui s'est chargé d'aller le saluer. Barack Obama a ensuite rejoint la résidence de l'ambassadeur américain, où il a retrouvé pour une soirée privée son épouse, Michelle, et ses deux filles, Malia, 10 ans, et Sasha, qui aura 8 ans dimanche, arrivées dans un avion séparé vendredi en milieu d'après-midi.

    Il faudra donc attendre ce midi pour voir les couples Sarkozy et Obama ensemble. Pour son séjour français, le président des États-Unis a privilégié la partie privée sur la diplomatie. Avec deux nuits et deux journées pleines en France, les numéros un américain et français ne se verront, a priori, qu'un peu plus de quatre heures. Le contact entre les deux hommes a beau, répète-t-on à l'Élysée, être « facile, chaleureux et amical », il reste pour l'instant uniquement professionnel.

     

    Programme minuté

    Les services de la Maison-Blanche ont décliné la proposition française d'une réception officielle samedi matin au palais présidentiel suivie d'une conférence de presse. L'accueil se déroulera donc, samedi midi, à Caen, en Normandie. « C'est la France qui a choisi de centrer cette journée sur la symbolique du Débarquement et il est donc normal que tout se passe à Caen et au cimetière américain de Colleville », explique le conseiller Jean-David Lévitte, plus diplomate que jamais. Le programme des festivités est calé à la minute près : vingt minutes de tête-à-tête à la préfecture de Caen ; un quart d'heure de point presse ; une heure de déjeuner. Place ensuite à la parade franco-américaine pour célébrer dans le cimetière de Colleville, en présence de vétérans, le 65e anniversaire du Débarquement allié. Une parade à laquelle participeront les premiers ministres britannique et canadien ainsi que le prince Charles, l'invité de dernière minute, qui représentera finalement sa mère, la reine d'Angleterre.

    Sitôt la séquence normande terminée, Obama retournera à Paris, où il a prévu de passer la fin du week-end. Sans revoir Sarkozy. À l'Élysée, on renvoie avec agacement vers les services de l'ambassade américaine pour les questions concernant le « programme privé » de la famille Obama. Selon nos informations, le numéro un américain a prévu de visiter samedi soir la cathédrale Notre-Dame et, dimanche matin, le Centre Georges-Pompidou. Michelle Obama s'est concocté un programme parallèle. vendredi soir, elle devait visiter la tour Eiffel avec ses filles et, dimanche, faire du shopping chez Bonpoint, une marque chic de vêtements pour enfants. Entre-temps, la First Lady pourrait rendre visite à Carla Bruni-Sarkozy dimanche à l'Élysée.

    Il n'est pas certain, en revanche, que Malia et Sasha Obama assistent aux cérémonies en Normandie. Elles pourraient à la place découvrir le Musée des arts premiers du quai Branly. Le plus récent des monuments parisiens, dont on doit la création à Jacques Chirac, était l'une des priorités de Barack Obama. Faute de temps, il ne devrait pas le visiter.

    À ceux qui suggèrent que la popularité de l'Américain agace son homologue français, habitué à occuper seul le devant de la scène internationale pendant le crépuscule de l'Administration Bush, la réponse de l'Élysée claque : « Il n'y a aucune frustration. » Seulement de l'amertume. Et l'espoir qu'Obama accordera un peu de son temps privé pour une photo avec Sarkozy.

Bon passons à autre chose :
aujourd'hui, je n'ai bien sûr pas vu grand chose du match entre les deux russes qui se sont battus pour un gros chèque à Roland Garros.
Demain, ce sera le vrai suisse, le bâlois (qui a appris le français, pour Nelson Monfort qui ne parle pas l'allemand), qui va tenter de gagner Roland Garros, le seul tournoi qu'il n'a pas ancore mis à son palmarès.
Ce soir, j'ai vu les catalans battre l'équipe sponsorisé par Renault et Michelin (Vous savez les rois de la délocalisation) et comme ils avaient ma préférence, ce soir c'était gaspacho et charcuterie catalane, et non potée auvergnate.
Demain, j'hésite entre Alonzo et Vettel qui a un moteur Renault sur sa Red Bull, la voiture à la taurine.
Alors mes amis salut et fraternité.
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 21:06
C'est ce que m'a dit un camarade, le lendemain du drame de Saint Laurent du Pont. 146 jeunes partis en fumée. J'ai bien cru ce jour là être lynché, par les clients du car dans lequel je me trouvais. C'était en 1970. Après tous les journaux, Hara Kiri s'est fait censurer pour avoir fait sa une, quelques jours après sur "le bal tragique à Colombey, un mort."

Alors aujourd'hui, je relativise sur l'accident d'avion de Rio à Paris. Seulement 70 français dans ce zinc, et je n'en connais aucun, Quelle chance !!! ¨Pas une de mes relations dans cet avion, et d'après ce que j'ai compris, il va y avoir des places à prendre dans une entreprise de Marseille, où 19 personnes ont trouvé la mort. Ca va faire des chômeurs en moins, on en a tellement. Tous à vos CVs.

Ca profite à Sarko, n'importe quoi, pour être sur la photo. Quel secours peut-il apporter à des gens qui ont perdu leurs enfants ou leurs parents dans cet accident ? Il a même interrompu son week end au Cap Nègre pour apparaître tout bronzé au 20 heures.

La compassion est une chose, s'approprier le malheur des autres à des fins électorales,  mérite un autre terme, que ma décence m'interdit de nommer ici.

Bonsoir les amis, demain je vais à Vic en Catalogne, j'espère bien revenir vivant et virulent dès jeudi soir.
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 21:37
Où le président de l'autorité militaire, Andry Rajoelina, ne voyage pas dans son Air Force 1, comme l'exige Sarkozy, notre national nain. Il prend tout simplement les avions de ligne, quitte à les détourner. Ainsi, l'avion qui devait atterrir à Marseille puis à Paris a été détourné sur Dakar, pour que Andry Rajoelina puisse assurer son rôle auprés des autorités Sénégalaises, où il avait pris rendez-vous.
Et pourtant Madagascar est une grande île, et surement un grand pays qui a encore beaucoup à nous apprendre.
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 15:58
et la tranquillité des parents.
On a, mon gendre et moi, nettoyé au karcher, (sans jeux de mots) le liner pourri par les algues, et un hiver rigoureux, et maintenant tout est prêt pour un nouvel été.
Voilà l'engin en état de marche, un coup de tondeuse autour, et tout sera prêt.
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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 23:02
Quand j'étais enfant lyonnais, un petit gône, donc, on parlait de l'UMDP (l'union des merdes parisiennes). C'était du temps de la mère Cotivet et de la mère Brasier;
Donc, un petit article sur l'UMDP.

"Scatophobie des villes, scatophilie des champs. Gestion et utilisation des fèces à Lyon à la fin du 19e siècle

Jean-Pierre Aguerre
Résumé

Au milieu du 19e siècle, la campagne suburbaine absorbe les matières fécales que produit Lyon. Cette relation symbiotique permet une agriculture sur un sol pauvre et règle, en partie, un grave problème d'hygiène urbaine. Les vidanges lyonnaises mettent en scène différents acteurs : agriculteurs, propriétaires urbains de fosses d'aisances, entrepreneurs et municipalité qui s'efforcent de tirer profit du commerce des « matières ». La modernisation du système et les solutions imaginées par les pouvoirs publics et par l'UMDP (Union mutuelle des propriétaires lyonnais pour les vidanges), compagnie qui règne sur les vidanges urbaines, amènent une redistribution des profits. Ces transformations lèsent des intérêts solidement établis et suscitent en retour la création d'alliances nouvelles qui éclairent les liens complexes que tissent la ville et sa périphérie rurale."


Voilà d'où vient le terme UMP, de la scatologie lyonnaise, merci les Canuts !!!

C'est de là qu'est née la Lyonnaise des Eaux, plus connue maintenant sous le nom de SFR, et Veolia.
Monsieur NIcollin patron de l'équipe de foot de Montpellier qui est né à Lyon, chez un gros ferrailleur, doit s'en rappeler.
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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 13:53
Comme tout étudiant, à 17 ans j'ai lu les "Rougon Maquard", la célèbre saga d'Emile Zola, sans en être fier pour celà.
Je ne suis pas sûr d'avoir lu les 20 livres, mais peut-être une bonne dizaine.
Alors; quand j'entend Sarkozy, qui explique les Roujjjjjon Maquard à des journalistes, je crains le pire. Et je n'ai pas tort, il a 54 ans, pour découvrir les oeuvres de jeunesse, des étudiants français. Bien sûr, il a loupé ses études, mais quand même !!!
Il n'est pas prêt pour lire Proust, André Gide, et les philosophes du XXème. Alain, Barthes, et cie.

Il lui faudra un deuxième quinquennat, ou alors, on l'élimine au prochain scrutin, et il aura toute sa vieillesse pour parfaire son éducation.
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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 09:05
Rien, c'est à dire pas grand chose.
Voilà un doctorant, (qui est en passe d'obtenir un doctorat), diplomé d'une école de commerce, qui vient de passer plus de 6 mois en prison, sans changer sa version de défense, malgré les pressions des flics, et des juges.
Certainement un anarchiste de maintenant, un rebelle au "tout pour l'argent" cher à notre nain président, appartenant à un groupe sans chef ni hiérarchie, et parti à Tarnac, monter une épicerie solidaire.
De la graine de révolutionnaire. Vite une lettre de cachet pour mettre en prison, ces dangers pour l'UMP, avec des forces de l'ordre ou du désordre,
Alors voulant en savoir plus, je suis allé à la recherche du fameux livre : "L'insurrection qui vient" publié à la Fabrique, et disponible sur internet. L'ouvrage n'est pas très long et assez facile à lire, mais je n'ai rien trouvé de vraiment subversif et susceptible de choquer M.A.M. et ses sbires.

J'en conclus donc, qu'il fallait absolument punir les subversifs qui contrarient fortement la sécurité du pays, plus que les voyous avec kalachnikovs, plus difficiles à trouver et à arrêter.

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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 10:35
Je vais aujourd'hui, pas écrire grand chose, mais vous livrer les réflexions de Gérard Gorsse, qui m'a envoyé ce billet d'humeur dès l'aube.

"En 1967, alors que j’avais 17 ans, j’ai adhéré et pris ma carte aux Jeunesses Communistes, convaincu que l’alternative à un système social défaillant c’était le communisme.
Lors des premières réunions j’ai été confronté aux différents courants, trostkyste, marxiste, marxiste léniniste, stalinien, un peu déconcerté par tous ces courants et ces militants qui prenaient leur carte au Parti Communiste avec des différences idéologiques qui prêtaient plus à sourire, même jaune,  qu’à avancer.
Lors d’une conférence de presse à laquelle nous avions été conviés, mes jeunes camarades et moi-même, la cellule communiste de Saint Etienne avait invité les journalistes locaux, nous reléguant au fond de la salle, je pense pour que nos voix ne se fassent pas trop entendre.
Mais c’était sans compter sur la spontanéité de notre jeunesse. A une question posée par un journaliste, nous avons répondu avant les dirigeants du parti. Cela nous a valu publiquement des remarques désobligeantes de la part des cadres, et nous avons d’un commun accord déchiré notre carte d’adhérent devant une foule éberluée par tant d’audace et des journalistes très surpris de notre réaction.
J’ai compris ce jour-là ce qu’était la dictature du prolétariat !!!
Depuis je n’ai jamais cessé de déchanter sur les élus du peuple et sur ceux qui sont censés nous représenter selon les lois de la démocratie, et qui ont un fond de commerce entre mégalomanie et soif de pouvoir, sans compter le côté financier et les dérives des élus, de tous bords. Je croyais en l’efficacité de la démocratie (Le terme démocratie désigne un corpus de principes philosophiques et politiques, suivant lequel un groupe social donné organise son fonctionnement par des règles : élaborées, décidées, mises en application et surveillées par l'ensemble des membres de ce groupe, a priori sans privilèges ni exclusions.), et j’ai pu constaté que cela n’était qu’illusion.
J’ai donc décidé de ne jamais voter, mais d’avoir un démarche citoyenne dans ma vie privée et professionnelle. Léo Ferré a chanté « Ils ont voté et puis après ». Je n’ai jamais cessé de lutter contre les injustices, l’irrespect des plus démunis, les magouilles politiciennes, les abus de pouvoirs et tant d’autres choses que philosophiquement, déontologiquement et éthiquement je ne pouvais admettre. Bien sûr bien des âmes bien-pensantes m’ont conseillé de fermer ma gueule, mais je n’ai jamais écouté leurs conseils. Il est plus facile de hurler avec les loups que de se démarquer avec des concepts de société irrecevable pour la majorité du peuple égoïste qui a plus les yeux sur son nombril que sur la misère des petites gens.
J’ai cru un instant, avec beaucoup de réserve, que l’élection de François Mitterrand en 1981 allait changer les choses. Mais sur toutes les propositions du candidat, une seule a, à mes yeux, le mérite d’être, c’est l’abolition de la peine de mort que Badinter a fait voté avant de démissionner du gouvernement. La suite nous la connaissons avec toutes ses dérives. Des anciens ministres socialistes qui virent à droite, la lutte des cheftaines, et j’en passe.
Je ne suis pas surpris de la politique de droite, c’est évident c’est une politique de droite, mais que la gauche mange au même râtelier, c’est indécent.
Les verts sont divisés, les socialistes s’entredévorent, on constate la faillite du capitalisme que l’on appelle pudiquement « Société d’économie libérale ». Alors quelle alternative ?
Ne votez plus, descendez dans la rue, osez dire que vous en avez ras-le-bol, mais surtout ne votez pas.
Les européennes ? Quel programme propose une dimension sociale ?
Osez votre refus libertaire, car franchement on nous prend pour des moutons de Panurge, et ça c’est insupportable.
Salut et fraternité
Gérard Gorsse"
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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 17:03
Jewhwwkgn, ou je ne sais plus, était le dieu dans la religion avant la juive, et maintenant, on a plus le droit de prononcer le nom d'un Hongrois converti à la France (pays d'accueil de toutes les misères du monde, tant pis pour M.Rocard, ça a existé). Je vous rappelle les faits :
Un prof de philo qui en Gare Saint Charles est accusé de tapage diurne, et passible de 100 euros pour avoir proféré : "je te vois Sarkozy". Imaginez le bruit et le tapage fait en pleine journée dans une gare aussi animée que ça, sans porte-voix. Il faut vraiment être con ou flic pour poursuivre ce brave homme.

Vous avez surement entendu le Darcos, (vous n'entendrez pas le Sarko, il est en vacances comme chaque week end), parler à la PEEP (dites pipe et non pas pépe comme les fachos et cathos de madame Boutin voudrait l'entendre).

Cette fédération de parents d'élèves qui regroupe les mal-baisées, comme son nom l'indique) et n'a rien à voir avec la FCPE, dont j'ai fait partie, quand mes enfants étaient scolarisés. Alors le Darcos qui n'a même pas réussi à se faire réélire maire à Périgueux et n' a pas réussi ses réformes nulles au lycée, et bien il voudrait faire fouiller les enfants à l'école.
C'est sa dernière trouvaille.
Déjà que des flics se pointent à 6 pour arrêter de supposés dangereux voleurs de vélo, de 7 et 10 ans, complètement innocents, mais plus bronzés, d'après les noms. Ou va-t'on ?
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20 mai 2009 3 20 /05 /mai /2009 08:49
Nous étions une majorité à avoir voté "NON", au traité de Lisbonne. Je me souviens bien, c'était avec le président d'avant Jacques Chirac, et j'avais voté NON car le traité de 270 pages avait oublié quelque chose d'essentiel à mes yeux. L'aspect social de l'Europe, ce document ne traitait que des aspects financiers (libre circulation des capitaux, mais pas des citoyens - même pas une harmonisation des différents codes du travail - ).

Et puis le nain à talonnettes fort de sa majorité godillot, n'a pas tenu compte, et a ratifié le traité de Lisboa, et nous a fait croire pendant 6 mois qu'il était président du monde occidental. (Obama élu, mais pas encore en fonction).
Voilà pour le passé, passons maintenant en revue, les partis et enjeux en présence.

- Le Parti Socialiste
: Fabius, et quelques autres avaient comme moi voté NON, mais je ne les entend plus. Tous derrière Aubry, le pot à tabac du Nord, qui a bourré les urnes et volé la victoire à Ségolène, qui elle ne roule pas pour Strauss Kahn (vous savez Dominique nique, nique...).

Les Verts
: José Bové qui avait voté NON, et Cohen Bendit qui avait voté OUI, ça fait désordre, maintenant qu'ils sont pacsés.

Mélenchon, avec son parti de gauche, à la rigueur, quoique ça risque de ne pas être utile, il n'a pas assez d'audience.

Le Modem, avec Bayrou, l'ancien ministre de l'Education Nationale, qui a favorisé l'enseignement confessionnel, et qui, touché par la grâce, se pose en seul opposant à Sarkozy. (Cherchez l'erreur !!!)

Chevénement
lui nous dit de voter Blanc ou Nul, ce qui ne sert strictement à rien, il vaut mieux rester dans "son lit douillet" ("Moi la musique qui marche au pas, cela ne me concerne pas...", comme disait l'immense Georges Brassens).

Besancenot
, le facteur, il est bien gentil, mais il n'est à la tête d'un parti de gouvernement. Il ne fait rien qu'à prôner l'anticapitalisme basique sans espoir de voir ses idées se concrétiser.

Et ensuite il y a tous les autres, Dieudonné, Dupont Aignan, De Villiers et Chasse, Nature, pèche et traditions (Quelles traditions !!! ).

Alors quoi faire, comme l'annonce les sondages, s'abstenir, ça ce n'est pas citoyen, même si ça fait plaisir à mes amis anars,
mais pour qui voter, sans rien renier de ses convictions.

Je n'ai pas encore la solution, il faut que je la trouve d'ici au 7 juin, tiens je vais questionner le chien.


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