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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 21:48
Et moniteur de tir, en tant que brigadier chef.
Chaque fois qu'un tir à balles réelles avait lieu, il était toujours supervisé par un officier, et non par un sous off. (un adjudant même chef ne fait pas partie des officiers.). Alors, la légion ne déroge pas à la règle, et les balles réelles doivent être comptabilisées. Ils nous faisaient assez chier pour récupérer les douilles après un tir, alors que maintenant j'apprend par les journaux, que des tirs à balles réelles ont lieu dans le public, (voir à Carcassonne), et les balles traçantes incendiaires sont tirées sous les ordres d'un sous-officier, seul coupable de l'incendie de Marseille.
La grande muette est toujours aussi pourrie, pour faire condamner un pauvre réunionnais, adjudant chef à 43 ans, qui n'a aucune chance de devenir officier et sous lieutenant et finir sa carrière comme capitaine, pas au-dessus, il faut faire des écoles, pour devenir colonel !!!
Que ceux qui ont fait l'armée, me contredisent.
Salut et Fraternité
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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 17:51
On en avait pas entendu parler la semaine dernière, alors le nainsident était vexé. Les affaires du monde se traitaient sans lui, il n'avait plus sous la main que le dictateur du Cameroun à rencontrer, et après, les vacances au "Cap Nègre", chez sa femme. (entre parenthèse, il paraît qu'il faisait du sport, il courait dans le Pavillon de la Lanterne qu'il a piqué au premier ministre le Fion)
Donc aujourd'hui, il a son heure de gloire : un malais vagal. Si vous ne savez pas, faîtes comme moi, allez donc sur le site wikipédia qui donne la définition. Ce n'est malheureusement pas très grave, mais comme personne n'était près pour le remplacer, ça évite le bordel pour l'instant.
A part ça, c'est Alonzo qui perd une roue au grand prix de Hongrie, alors qu'il était en tête, et Hamilton qui renoue avec la victoire, rompant un peu la monotonie de la Formule 1.
Contador, Shleik et Armstrong sont les vainqueurs sans surprise du Tour de France.
La grippe dont on nous bassine, n'est qu'une grippette d'après le professeur Debré, et encore un effet d'annonce du gouvernement.
Villepin (dit Galouzeau de) critique durement le gouvernement actuel, je ne le savais pas dans l'opposition, et surtout il n'a pas été si bon quand il était aux affaires.
Voilà ma petite revue de presse quotidienne, elle n'est pas exhaustive, mais c'est ce que j'ai retenu, c'est à dire pas grand chose.
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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 16:51
Essayez donc cette recherche :

«trou du cul du web» et vous aurez la surprise de trouver Sarkozy.

Ils doivent bien l'aimer les internautes, notre nainsident.

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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 16:20
Comme moi, vous lisez les journaux, et vous tenez informés de l'actualité.
Aujourd'hui, 1300 hectares de broussailles et de bois qui ont brûlé aux portes de Marseille.
C'est quand même le premier grand incendie, et le responsable mis en cause, est un adjudant qui n'a rien trouvé de mieux de faire jouer des soldats de la légion, avec des balles traçantes (vous savez, des balles qui éclairent lorsqu'elle sortent du fusil).
Il faut vraiment être c.. pour faire ça, en pleines chaleurs, dans une région aussi sensible.
Après les tasers, les flash ball, et maintenant les FAMAS, on est plus en sécurité, en France.
Salut et Fraternité.

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 19:56
Et bien oui, le vieux con s'est remarié samedi.
Comme on dit, de par chez moi, mariage plus vieux, mariage plus vieux.
Alors pas de pluie, on a pu apprécier les chansons de Gérard Gorsse, jusque tard dans la nuit. Enfin, nous avions pris soin d'inviter les voisins, comme ça, on a pas pu être taxé de tapage nocturne.
Vous pourrez remarquer que comme Sarko, je ne peux jamais être tranquille, le téléphone portable fonctionne, même quand je devrais être sérieux.








Vous voyez bien que c'est vrai, nous sommes passés devant monsieur le maire.

Et pour finir, le chanteur Gérard Gorsse, dans ses oeuvres.




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19 juillet 2009 7 19 /07 /juillet /2009 20:51
J'aurais aimé vous dire des trucs marrants sur mon mariage, mais l'actualité prime.
Donc, promis demain, je vous ferai passer quelques photos de l'événement.

Mais là, je pense qu'il faut relayer ce courrier, que tout le monde réagisse, et qu'un jour prochain, on ssoit débarrassé de notre apprenti dictateur et de sa clique de policiers qui jouent aux cowboys, quand il n'y a aucun risque.

De la part de la rédaction des Périphériques vous parlent
 
Bonjour,
 
En solidarité avec la Maison de l'Arbre et en témoignage d'affection et de soutien dans l'épreuve à notre ami Joachim Gatti, nous vous invitons à relayer la lettre ouverte de son père Stéphane Gatti (voir ci-après) afin que l'écho le plus ample soit donné à la dénonciation d'une violence policière des plus arbitraires qui a frappé son fils.
 
Pour envoyer un signe fraternel à Joachim Gatti, cinéaste :

http://jesigne.fr/pourjoachimgatti

A diffuser le plus largement possible.



RAPPEL DES FAITS

SUR JOACHIM GATTI (À DIFFUSER LARGEMENT). Lettre ouverte de Stéphane Gatti (son père)
samedi 11 juillet 2009


Pour info complémentaire sur Joachim Gatti, il est aussi l’acteur qui a tenu le rôle de Joachim Rivière dans le film "La Commune de Paris" de Peter Watkins, il a fait des études de philosophie à Nanterre avec Etienne Balibar, un Grand Projet sur la sémiotique de la stratégie urbaine de la ville de Gênes (histoire et contemporain dont les grandes manifestations altermondialistes). Etc...

Il va de soi qu’il faut prendre en compte tous les "cyclopes" comme disait La Louve ici, des balles de plastique ou autres coups envoyés dans la figure des manifestants, activistes et/ou autres résistants ou non conformes, dont les gars les plus défavorisés des banlieues qui ont été aux premières loges, ou simples contestataires solidaires de l’insoumission et de la liberté du mode de vie, premières victimes de la défiguration générale entreprise par le nouveau Président depuis qu’il fut ministre de l’intérieur, corps vivants et réformes institutionnels compris.

Défigurer pour marquer à vie, c’est un crime autorisé depuis que la police est engagée par le pouvoir dans des voies miliciennes contre l’altérité sociale et nationale (ici je parle aussi de l’émigration). Et notamment contre ceux qui agissent pour sauver les libertés à l’acte. Sans doute est-ce la structuration d’un fascisme sur l’alterophobie générale des lois et des ordres exécutifs, jusqu’à leur application sans contestation par les forces de l’ordre, n’étant en réalité que celles du désordre des divisions les plus graves.

Mais il faut savoir que l’état dans lequel se trouve le visage du dernier des "cyclopes" de la population en voie de mutation sous les actes de défiguration de l’humain par le président actuel, est certainement le plus grave de ceux qui se sont produits jusqu’ici. L’escalade est claire et il faut voir et comprendre en quoi...

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article88906


rappel des faits


À Montreuil, la police vise les manifestants à la tête



Le matin du mercredi 8 Juillet, la police avait vidé une clinique occupée dans le centre-ville. La clinique, en référence aux expériences venues d'Italie, avait pris la forme d'un "centro sociale" à la française : logements, projections de films, journal, défenses des sans papiers, repas... Tous ceux qui réfléchissent au vivre ensemble regardaient cette expérience avec tendresse. L'évacuation s'est faite sans violence. Les formidables moyens policiers déployés ont réglé la question en moins d'une heure. En traversant le marché le matin, j'avais remarqué leurs airs affairés et diligents.

Ceux qui s'étaient attaché à cette expérience et les résidents ont décidé pour protester contre l'expulsion d'organiser une gigantesque bouffe dans la rue piétonnière de Montreuil.

Trois immenses tables de gnocchi (au moins cinq mille) roulés dans la farine et fabriqués à la main attendaient d'être jetés dans le bouillon. Des casseroles de sauce tomate frémissaient. Ils avaient tendu des banderoles pour rebaptiser l'espace. Des images du front populaire ou des colonnes libertaires de la guerre d'Espagne se superposaient à cette fête parce que parfois les images font école. J'ai quitté cette fête à 20h en saluant Joachim.

A quelques mètres de là, c'était le dernier jour dans les locaux de la Parole errante à la Maison de l'arbre rue François Debergue, de notre exposition sur Mai 68. Depuis un an, elle accueille des pièces de théâtres, des projections de films, des réunions, La nuit sécuritaire, L'appel des Appels, des lectures, des présentations de livres... Ce jour-là, on fermait l'exposition avec une pièce d'Armand Gatti « L'homme seul » lu Pierre Vial de la Comédie Française et compagnon de longue date. Plusieurs versions de la vie d'un militant chinois s'y confrontent : celle de la femme, des enfants, du père, du lieutenant, du général, des camarades...

C'était une lecture de trois heures. Nous étions entourés par les journaux de Mai. D'un coup, des jeunes sont arrivés dans la salle, effrayés, ils venaient se cacher... ils sont repartis. On m'a appelé. Joachim est à l'hôpital à l'hôtel Dieu. Il était effectivement là. Il n'avait pas perdu conscience. Son visage était couvert de sang qui s'écoulait lentement comme s'il était devenu poreux. Dans un coin, l'interne de service m'a dit qu'il y avait peu de chance qu'il retrouve l'usage de son œil éclaté. Je dis éclaté parce que je l'apprendrais plus tard, il avait trois fractures au visage, le globe oculaire fendu en deux, la paupière arrachée...

Entre ces deux moments; celui où je l'ai quitté à la fête aux gnocchi et l'hôtel Dieu que s'était-il passé ? Il raconte : Il y a eu des feux d'artifice au dessus du marché. Nous nous y sommes rendus. Immédiatement, les policiers qui surveillaient depuis leur voiture se sont déployés devant. Une minute plus tard, alors que nous nous trouvions encore en face de la clinique, à la hauteur du marché couvert, les policiers qui marchaient à quelques mètres derrière nous, ont tiré sur notre groupe au moyen de leur flashball.
A ce moment-là je marchais et j'ai regardé en direction des policiers. J'ai senti un choc violent au niveau de mon œil droit. Sous la force de l'impact je suis tombé au sol. Des personnes m'ont aidé à me relever et m'ont soutenu jusqu'à ce que je m'assoie sur un trottoir dans la rue de Paris. Devant l'intensité de la douleur et des saignements des pompiers ont été appelés.

Il n'y a pas eu d'affrontement. Cinq personnes ont été touchés par ces tirs de flashball, tous au dessus de la taille. Il ne peut être question de bavures. Ils étaient une trentaine et n'étaient une menace pour personne. Les policiers tirent sur des images comme en témoigne le communiqué de l'AFP.

Un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui occupait, avec d'autres personnes, un squat évacué mercredi à Montreuil (Seine-Saint-Denis), a perdu un œil après un affrontement avec la police, a-t-on appris de sources concordantes vendredi. Le jeune homme, Joachim Gatti, faisait partie d'un groupe d'une quinzaine de squatters qui avaient été expulsés mercredi matin des locaux d'une ancienne clinique. Ils avaient tenté de réinvestir les lieux un peu plus tard dans la soirée mais s'étaient heurtés aux forces de l'ordre. Les squatters avaient alors tiré des projectiles sur les policiers, qui avaient riposté en faisant usage de flashball, selon la préfecture, qui avait ordonné l'évacuation. Trois personnes avaient été arrêtées et un jeune homme avait été blessé à l'œil puis transporté dans un hôpital à Paris, selon la mairie, qui n'avait toutefois pas donné de précision sur l'état de gravité de la blessure."Nous avons bien eu connaissance qu'un jeune homme a perdu son œil mais pour le moment il n'y a pas de lien établi de manière certaine entre la perte de l'œil et le tir de flashball", a déclaré vendredi la préfecture à l'AFP.

La police tire sur l'image d'un jeune de 20 ans qui essayent de reprendre son squat. Et pour la police et les médias, cela vaut pour absolution, et c'est le premier scandale.
Faut-il rétablir la vérité sur l'identité de Joachim Gatti ne serait-ce que pour révéler la manipulation des identités à laquelle se livre la police pour justifier ses actes , comme s'il y avait un public ciblé sur lequel on pouvait tirer légitimement ?

Joachim n'a pas 20 ans mais 34 ans.
Il n'habitait pas au squat, mais il participait activement aux nombreuses activités de la clinique
Il est cameraman
Il fabrique des expositions et réalise des films.
Le premier film qu'il a réalisé s'appelle « Magume ». Il l'a réalisé dans un séminaire au Burundi sur la question du génocide. Aujourd'hui, il participe à la réalisation d' un projet dans deux foyers Emmaüs dans un cadre collectif.

On devrait pouvoir réécrire le faux produit par l'AFP en leur réclamant de le publier. Il serait écrit :
Joachim Gatti, un réalisateur de 34 ans a reçu une balle de flashball en plein visage alors qu'il manifestait pour soutenir des squatteurs expulsés. Il a perdu un œil du fait de la brutalité policière.

Stéphane Gatti



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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 14:00
Voilà la pub retouchée, et en noir et blanc.




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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 13:41
J'ai appris après de longues études, (ingénieur, troisième cycle de management), le savoir-faire faire. Alors je ne m'occupe plus de rien, je délègue, et je contrôle, pas mieux. Je fais confiance, mais pas trop, et je ne suis pas nain (180 cm quand même).
Mais ça marche, la preuve, je me marie samedi, avec Idelette, et je contrôle tout.
A 63 ans, pas toutes mes dents, mais toujours pas de lunettes, ça va.
Bon; désolé, mais l'histoire du savoir-faire faire vient de mes études dite supérieures, et de ma fille qui me rappelle qu'à 40 ans, j'utilisais déjà l'expression.
Après avoir appris, j'ai acquis un savoir, puis ensuite devenu professionnel, j'ai eu un savoir-faire, et maintenant, je cultive le savoir-faire faire.
Salut et Fraternité.
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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 17:44
à talonnettes et tabouret.
Mais pas de nouvelles depuis le 14 juillet, à part une halte au Havre pour la mer, un voyage aux Etats Unis pour voir sa femme, chanter (si on peut appeler ça chanter), pour l'anniversaire de Mendela. Je suis juste en train d'écouter "`Etat de merdre" de François Béranger (pas un chanteur à voix, mais j'aime bien).
Alors j'ai regardé quelques blogs, pour avoir des infos intéressantes.
Et j'ai trouvé cette image aimablement prêtée (merci Pakman) qui justifie bien la loi sur le travail dominical, je vous la fait découvrir.



Et pour finir, j'ai appris incidemment qu'Alain Delon, l'acteur préféré des japonnais, ne fumait jamais et surtout pas dans les pubs, alors, j'ai décidé de remettre les pendules à l'or comme le dit si bien Jauni.

Alain Delon fumait quand il était petit, photo non truquée, comme dans la pub.
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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 16:35
Nous, en France on a Jauni à 1,9 millions d'euros HT. Avec la tva, ça va chercher dans les 2,3 à 3 millions d'euros.
Et le grand feu d'artifesse, de quoi se plaint-on ?
Qui va payer pour que 1 million de personnes (au grand maximum) puissent voir à Paris tout ça ? 60 000 000 de cons.

"PANEM ET CIRCENSES" ( du pain et des jeux, pour le pain, allez enrichir le boulanger) demandaient les romains, en pleine décadence, et nous sommes tous un peu romains.
Mais président est heureux, il ne fait pas comme ses prédécesseurs, il invente la rupture à sens unique, il fait venir des indiens et des suisses à son festival de cons.
Bon, je n'aime pas Jauni, c'est loin d'être le meilleur, mais faut pas non plus pousser, ils ne l'ont pas invité au Festival de Montreux, en Suisse. Ils sont moins cons que nous, nos voisins.
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